JO 2024 - Rugby à 7. « On est sur le bon chemin », les Bleus optimistes avant l'Argentine

L'équipe de France de rugby à 7 s'est inclinée dans le choc contre les Fidji, double tenant du titre (12-19). Les Bleus d'Antoine Dupont, terminant deuxièmes de leur poule, vont jouer l'Argentine en quart de final. Un match qui s'annonce « électrique », selon Varian Pasquet.

Le quart de finale France Argentine s'annonce épique. Les Bleus ont rendez-vous avec l'Argentine en quart de finale des Jeux olympiques dans un contexte très particulier. Lors de leur dernier affrontement, les deux équipes en étaient venues aux mains à la fin du match, mais la France avait gagné.

À l'issue de leur ultime match contre les Fidji (défaite 19-12), les Français ont été invités à s'exprimer sur le quart de finale. Varian Pasquet lui, est particulièrement enthousiaste à l'idée de jouer face aux Pumas.

« Il y a une guerre psychologique à distance »

« On est rentrés dans la compétition. Il nous manque encore quelques détails, mais on remonte petit à petit la pente. On est sur le bon chemin. J'adore jouer contre l'Argentine. Ils nous ont arraché beaucoup de victoires, de titres et de médailles. Ça serait top de les faire sortir en quart de finale. Je ne sais pas de quoi sera fait le match, mais on va laisser la magie des Jeux olympiques opérer. Ça va être électrique », a-t-il déclaré en zone mixte.

De son côté, le taulier Stephen Parez n'a pas souhaité entrer dans le jeu de la polémique : « On espère pouvoir rouler sur les Argentins. J'espère que le stade va pouvoir nous aider. On sait que les Argentins sont des sanguins. Quand on les hue ou quand ils se sentent rejetés, ça peut aussi devenir une force chez eux ».

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« Le match le plus important de la journée reste le quart de finale, affirme Jérôme Daret, le manager. Il fallait réagir aujourd'hui […] On a monté le curseur il faudra être encore un degré au-dessus contre l'Argentine, parce qu'ils sont très filous, très malins et très coquins. Il y aura de la revanche dans l'air. Il y a une guerre psychologique à distance entre nous. On est à la maison, on va avoir envie de leur appuyer sur la tête. On va se nourrir des ondes positives qui vont pousser derrière l'équipe de France ».

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