« C'est bien parti » : le partenariat entre Aurélie Aubert, la boccia et Kinder proche d'aboutir

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Férue de chocolat, Aurélie Aubert, championne paralympique de boccia à Paris début septembre, avait lancé un appel à Kinder il y a quelques semaines sur le plateau de « Quels Jeux » sur France 2 pour que la marque la sponsorise. Selon elle, le partenariat est en bonne voie.

Ce n'est plus un secret, Aurélie Aubert aime le chocolat. Début septembre, après avoir décroché le titre de championne paralympique de boccia à Paris, à la surprise générale (elle arrivait dans la peau de la 16e joueuse mondiale), la Normande était l'invitée de l'émission « Quels jeux » (la déclinaison sportive de l'émission « Quelle époque » pendant les Jeux). Elle en avait profité pour lancer un appel à Kinder.

Un défi lancé par sa team manager

« J'espère que Kinder va sponsoriser la boccia », espérait-elle alors que le journaliste Matthieu Lartot avait dit sur le ton de l'humour qu'avec les 80 000 € qu'elle allait toucher, elle pourrait s'acheter « plein de chocolat ».

Ce à quoi lui avait répondu Kinder : « Aurélie, chez Kinder et Ferrero, nous sommes émus et fiers d'avoir pu suivre ton parcours, de tes débuts (avec nos Schoko-Bons) jusqu'à cette incroyable réussite. Regarde vite tes DM Instagram ».

La joueuse de boccia de 27 ans, porte-drapeau de la cérémonie de clôture des Jeux paralympiques, ne s'imaginait sûrement pas que ce qui peut s'apparenter à un défi aille aussi loin. « Pour la petite anecdote, c'est ma team manager qui m'a dit : « tu n'es pas capable de demander à Ferrero de te sponsoriser » et je lui ai dit : « tu verras ». Sur le plateau de Léa Salamé, on m'a branchée là-dessus et j'en ai profité pour faire cette annonce », avait-elle déclaré sur le plateau sur BFM Normandie le 12 septembre dernier.

Toujours est-il qu'aujourd'hui la marque semble partante pour la sponsoriser : « Ils sont venus me voir il y a une semaine et on doit se rencontrer dans pas très longtemps. Normalement, c'est bien parti ».

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Pour la petite histoire, c'est en partie des Schoko-Bons qui lui ont donné goût à son sport. À ses débuts à 12 ans, elle n'aimait pas vraiment la boccia. Sa team manager, qui travaillait avec elle à l'époque lui mettait des Schoko-Bons sur le terrain tout en lui disant pour la motiver : « Si tu touches le Schoko-Bons, tu l'auras. » Avec ce partenariat, la boucle serait bouclée.

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