« Une ambiance si magique » : ces Finistériens attendent avec impatience les Jeux paralympiques 2024
28/08/2024 13:59
Les Jeux paralympiques de Paris 2024 débutent ce mercredi 28 août, avec la cérémonie d'ouverture sur la place de la Concorde, dans la soirée. Des habitants du Finistère savourent d'avance ce rendez-vous et comptent se rendre aux épreuves sportives, qui vont s'étaler pendant onze jours de compétition. Ils témoignent.
Après les Jeux olympiques, c'est désormais aux Jeux paralympiques de Paris de prendre leurs quartiers dans la capitale. Ce mercredi 28 août 2024, dans la soirée, la cérémonie d'ouverture se déroulera à partir de 20 h. Le coup d'envoi de onze jours d'épreuves sportives, qui réuniront environ 4 400 athlètes, représentant 168 délégations.
Dans un appel à témoignages, nous avons demandé aux Finistériens quelles étaient leurs attentes concernant la compétition. « Je vais assister à la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques, pour applaudir tous ces sportifs, leur témoigner mon admiration et ma reconnaissance pour leurs belles histoires de résilience », confie Cathy Dagorn, originaire de Saint-Évarzec.
De son côté, Bernard Breuiller, de Scaër, indique qu'il n'avait pas pu, « pour des raisons de temps et de tarifs, assister aux JO 2024. Je suis un ancien sportif de haut niveau, passionné de rugby, d'athlétisme et intéressé par tous les sports. J'ai l'opportunité d'être hébergé quelques jours le week-end prochain, et je vais réserver des billets au stade de France pour l'athlétisme. Cela me mettra du baume au cœur. »
Se replonger dans les Jeux
Sylvaine Pennequin a, elle, déjà été volontaire pendant deux semaines lors des Jeux olympiques : « J'ai tellement savouré cette quinzaine que la fin m'a laissée nostalgique. Alors, j'ai trouvé dans les Jeux paralympiques l'occasion de replonger dans cette ambiance si magique. »
Cette habitante de Plomelin y voit aussi « l'occasion d'y emmener [sa] maman, qui n'avait pas voulu de places pour les JO, influencée par toutes les critiques émises en amont des Jeux. Toutes les deux, nous y voyons une façon de saluer le courage et le mérite des athlètes paralympiques ».
