« C'était impressionnant ! » : ces lycéens ornais ont assisté aux Jeux paralympiques

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47 élèves du collège et lycée Saint-Thomas-d'Aquin de Flers (Orne), dont 28 lycéens, ont assisté aux Jeux paralympiques à Paris. Ils sont revenus au lycée les mirettes pleines d'enthousiasme.

47 élèves du collège et lycée Saint-Thomas-d'Aquin de Flers (Orne) se sont rendus à Paris pendant une semaine (à partir du mercredi 28 août), pour assister aux Jeux paralympiques. De retour à Flers, c'est l'heure du bilan pour les lycéens en filière sciences et technologies de la santé et du social (ST2S).

« C'était impressionnant ! », lancent Léo et Fraser, âgés respectivement de 18 et 17 ans. « Ça permet de découvrir différents sports que l'on ne connaissait pas ». Pour Lili, 17 ans, « ça a mis en évidence des valeurs importantes dans le sport, notamment de respect ». À ses côtés, Manon, 16 ans, a aussi été « impressionnée ». L'expérience lui a permis de « mieux comprendre la diversité des handicaps et les valeurs paralympiques ».

« De belles performances »

Erwan, lui aussi âgé de 16 ans, a vécu un moment qui l'a marqué : « Ça m'a permis d'affronter le regard des autres. On a fait une battle de danse (avec d'autres supporters, N.D.L.R.). Je n'aurais jamais osé danser devant la classe. Mais on m'a dit : « Ce n'est qu'une fois. Tu ne pourras jamais redanser là-bas ». Et je n'ai pas regretté ».

Sophia, 17 ans, se remémore « l'ambiance, le bruit dans la rue ». Avec son amie du même âge, Léa, elles aimeraient devenir infirmières. Elles retiennent « la persévérance » des athlètes qu'elles ont envie de « transmettre ». Léonie, également âgée de 17 ans, aimerait devenir coach sportive. Elle en retient une grande source de « motivation ».

Amélia, 16 ans, projette de devenir assistante sociale. Elle a aimé « le rassemblement de tous les pays » et le « lien social » qui en a découlé. Léonie, 16 ans, souligne : « Je ne pensais pas que des personnes en situation de handicap pouvaient aller aussi loin pour repousser leurs limites. »« Le handicap n'est pas un frein », acquiesce Ombeline, 17 ans. « On peut faire de belles performances », complète sa comparse, Lou-Anne, 17 ans.

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