Pourquoi le début de la saison de Formule 1 n'a quasiment jamais été aussi attendue

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La F1 a réussi son show à l’O2 Arena. Les supporters de toutes les écuries ont pris d’assaut la billetterie pour assister pour la première fois au gala des écuries. Une réussite tant sur le plan médiatique que de l’impatience des fans à avoir une nouvelle lutte pour le titre. A tel point qu’à un petit mois du lancement des hostilités, le calendrier n’a pas été galvaudé.

Une ambiance de fête londonienne et une immense garden party avec des Formule 1 sorties du garage. Liberty Media a donné le coup d’envoi d’une séquence qui va de prolonger jusqu’au coup d’envoi, avec le Grand Prix de Melbourne à la mi-mars.

Le rendez-vous à l’O2 Arena a permis aux fans de se retrouver pour une rentrée complètement déganté avec des écuries en pleine forme et des stars en nombre. L’écurie reine de la soirée, la Scuderia Ferrari a présenté son nouveau duo, le plus acclamé. Lewis Hamilton et Charles Leclerc se sont présentés sur la scène tout sourire avant de reprendre la direction de Maranello pour des tours de piste.

Reste à connaître les facultés de la Scuderia Ferrari à imposer son rythme d’entrée de jeu.

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Les plus grandes stars, la plus belle concurrence et un suspense exceptionnel

En réalité, ce coup d’envoi à l’O2 Arena témoigne que la discipline reine du sport automobile s’attend à vivre une année de rêve. Toutes les grandes écuries ont soigné leur entrée et s’apprêtent à s’échauffer dans leur complexe. Ferrari, McLaren, Mercedes, Alpine, Red Bull, elles étaient toutes présentes par obligation mais aussi pour rencontrer leur public. Sans oublier le début du récit d’une saison qui va être à rallonge. Elle se terminera en décembre pour les pilotes avec deux coupures à l’été puis en fin de saison. Cependant, il y a bien une attente pour avoir du spectacle et un grande histoire.

Jamais la F1 n’avait connue une pareille concurrence entre les prétendants à la victoire finale. Pas moins de 7 pilotes ont bien l’intention de poser leurs de mains sur le trophée. Leclerc et Hamilton pour Ferrari, Russell chez Mercedes, Verstappen chez Red Bull, Sainz avec la Williams, Piastri avec Norris chez McLaren. Rien que ça, il y aura encore plus de spectacle et la stratégie va valloir son pesant de cacahuètes.

Des millions en jeu avant l’arrivée d’Audi

Pour les écuries cette saison 2025 est d’ores et déjà exigeante en matière d’objectifs. D’abord, il s’agit de la dernière saison avec 10 écuries. Audi fera son arrivée en 2026 avec de grosses ambitions mais avec un handicap. Un nouveau règlement sera sur la table pour tous à l’occasion de la 76ème saison de F1.

En attendant, il est urgent d’être performant pour les écuries et les millions qui vont avec. Plus on est proche du sommet, plus on participe à augmenter le budget de son écurie pour une nouvelle réglementation qui vaudra de nombreux changements sur les monoplaces. Et il ne faudra pas se tromper dès le coup d’envoi en Australie.

Car chaque Grand Prix possède son prize money. Les millions vont compter dès le premier Grand Prix de la saison pour les écuries qui vont devoir aussi se projeter entre justesse technique et du pilotage. C’est aussi des données précieuses pour l’année prochaine.

Parce que la domination de Red Bull va prendre fin

Red Bull a conservé de justesse son titre de champion du Monde. Max Verstappen en a profité pour inscrire son nom une quatrième fois de suite. Une aubaine pour le champion hollandais qui marche dans la cour des Grands. Sauf que toute hégémonie possède une fin. L’écurie autrichienne le sait mieux que personne.

Alors, elle a failli tout perdre sur les deux dernières courses de la saison. Et ce, malgré un développement extrêmement limité. Du fait, des contraintes budgétaires. Red Bull se sait plus que jamais menacé et pourrait bien perdre sa couronne. Elle a déjà laissé le titre constructeurs à McLaren qui lui a collé une claque en matière de points. Alors qu’elle possédait de l’avance sans commune mesure.

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