Gameday : Matchs du Dimanche Week 11

11/19/2023 11:00 AM

Sommaire

Dallas Cowboys @ Carolina Panthers
Pittsburgh Steelers @ Cleveland Browns
Chicago Bears @ Detroit Lions
Los Angeles Chargers @ Green Bay Packers
Arizona Cardinals @ Houston Texans
Tennessee Titans @ Jacksonville Jaguars
Las Vegas Raiders @ Miami Dolphins
New York Giants @ Washington Commanders
Tampa Bay Buccaneers @ San Francisco 49ers
New York Jets @ Buffalo Bills
Seattle Seahawks @ Los Angeles Rams
Minnesota Vikings @ Denver Broncos

Dallas Cowboys (6-3) @ Carolina Panthers (1-8)

Étant donné le choc qui va concerner Philly cette semaine, les Cowboys peuvent leur mettre la pression en revenant au contact dans la division.

Les Cats ont beau limiter les yards, ce taux terrifiant en redzone couplé à des drives défensifs démarrés dans sa moitié de terrain provoquent une hémorragie de points ; et cela ne devrait pas aller mieux sans Jaycee Horn et C.J. Henderson contre une attaque de Dallas en pleine bourre. Dak Prescott – qui mène la ligue avec 70.7% de complétion – et CeeDee Lamb sont sur une série de performances remarquables que le faible pass-rush n’est pas sûr de perturber. Et ne parlons pas du jeu au sol avec Tony Pollard qui devrait contrôler l’horloge.

La tâche s’annonce compliquée pour Bryce Young face à une défense solide. La protection est inquiétante avec un zébulon comme Micah Parsons en face, la couverture a les armes pour limiter Adam Thielen, et le front-7 devrait pouvoir freiner Chuba Hubbard. Si Carolina veut réaliser un exploit, il va falloir être bien plus efficace sur chaque possession, et pousser les Cowboys à accumuler les pénalités.

Avantage évident aux visiteurs qui ne pourra être inversé qu’en volant bien plus de ballons, le talon d’Achille de la défense des locaux.

Pittsburgh Steelers (6-3) @ Cleveland Browns (6-3)

Les deux autres adversaires d’AFC North vont avant tout vouloir terminer le match sans blessés vu les conséquences du Thursday Night Football… et accessoirement ne pas laisser Baltimore s’envoler.

La série continue : Pittsburgh est 6-3 en ayant gagné moins de yards que son adversaire sur chaque match. Cela pourrait encore être le cas contre une défense redoutable ; rappelons qu’à l’aller, les visiteurs avaient dû scorer deux TDs défensifs pour l’emporter de 4 points. Il va encore être compliqué d’avancer, que ce soit à la course ou à la passe, et les entrées en zone critique risquent de se faire rare avec l’attaque qui réussit 18 voyages en redzone (pire) et la défense qui autorise 19 voyages adverses en redzone (top NFL) ; mais si cela arrive, les Steelers devront capitaliser.

Si les Browns veulent avoir une chance de venger leur défaite en Week 2, la première chose à faire est donc de ne pas offrir de TDs défensifs à leur adversaire. Deshaun Watson étant définitivement out pour cette saison, c’est Dorian Thompson-Robinson qui va devoir se coltiner une défense de Pittsburgh qui n’est pas aussi redoutable que la sienne – et qui va manquer deux Safeties avec Minkah Fitzpatrick et Keanu Neal – mais qui est vorace en ballons volés, le gros point noir de l’attaque de l’Ohio. Il faut absolument que le jeu au sol aide DTR à survivre sans quoi cela risque de tourner à sens unique.

Ce match pourrait être un concours de coureurs avec un score bas, à moins que les défenses ne s’en mêlent encore ; Pittsburgh possède un léger avantage avec le changement de Quarterback à Cleveland, mais la marge n’est pas si large que cela.

Chicago Bears (3-7) @ Detroit Lions (7-2)

Les Vikings ne laissent pas trop le choix aux Lions de garder le pied sur l’accélérateur, mais attention aux matchs intra-division.

Justin Fields revient pour cette rencontre, mais il n’est pas le seul car Khalil Herbert va également faire le voyage ; une bonne nouvelle avec D’Onta Foreman incertain face à une défense des Lions qui tient la dragée haute aux coureurs adverses. Il n’est pas sûr que Chicago prenne la main sur la ligne de scrimmage, que ce soit au sol ou par les airs ; Fields doit s’attendre à déguerpir pour éviter Aidan Hutchinson, mais le maître mot sera de protéger le ballon et ne pas aggraver le pire turnover differential de la ligue à -9.

Défensivement, les visiteurs ont intérêt à monter la pression d’un pass-rush toujours largement déficitaire s’ils veulent espérer quoi que ce soit : Jared Goff est top-10 dans les catégories majeures et il possède trop d’armes pour ne pas profiter d’une couverture exposée par le manque d’appui devant. Les locaux pourraient avoir plus de difficultés à progresser balle en main vu la bonne tenue du front-7 de l’Illinois, mais cela n’a pas beaucoup d’importance quand vous êtes affreux sur 3e tentative et en redzone.

L’introduction rappelle que les matchs intra-division sont toujours un peu particuliers. Les Bears devront se rappeler de leur glorieux passé défensif pour ne jamais être loin au score ; finir avec un turnover differential assez largement positif semble obligatoire.

Los Angeles Chargers (4-5) @ Green Bay Packers (3-6)

L.A. sort d’une défaite rageante contre Detroit et doit se déplacer chez des Packers qui continuent de manger leur pain noir (ou du moins gris foncé).

Le positif du match contre les Lions est que les Chargers ont su accumuler yards et points contre une bonne défense ; celle des Packers n’est pas si mauvaise quand on regarde les stats, elle possède surtout deux points faibles avec le sol et le manque de turnovers (plus ceux annulés injustement). Les Bolts ont de quoi profiter de ces failles : Austin Ekeler devrait voir son lot de ballons au sol et Justin Herbert mène une attaque qui protège bien le cuir. Green Bay ne récupèrera peut-être ni Jaire Alexander ni Quay Walker sans parler du manque de Safeties… si Keenan Allen peut s’aligner, le danger est réel.

On a enfin vu une première mi-temps prometteuse de l’attaque des Packers (c’était quand même Pittsburgh en face), avec un Jordan Love plus en rythme et un playcall sympathique. Cela reste encore fragile, mais il y a des possibilités dans la défense de L.A, surtout en couverture : le #10 aura néanmoins besoin que Christian Watson se réveille un peu, lui qui fait une saison décevante après une année rookie intrigante. Aaron Jones se devra aussi une revanche : avec AJ Dillon ils peuvent posséder le cuir en alternant et freiner ainsi le duo Grand Bosa – Khalil Mack.

Les Packers ont intérêt à ne pas partir dans une course aux points avec les Bolts, ils n’ont pas scoré plus de 20 points depuis la Week 2.

Arizona Cardinals (2-8) @ Houston Texans (5-4)

Le retour de la Mobylette a aidé Arizona à enregistrer une deuxième victoire, mais la tâche va être plus ardue chez des Texans qui se prennent à rêver de playoffs en étant 2-1 contre l’AFC North (la division qui risque de truster les Wild Cards).

Il va être intéressant de voir Kyler Murray contre la défense de Houston : cette dernière est très solide contre la course avec en son milieu le surprenant Blake Cashman, mais on a vu que la Mobylette avait visiblement les bielles déjà bien chaudes, et le retour de James Conner va poser un certain problème aux locaux. Les Cards manquent cruellement de possession (27:56 – 29e), ce qui pourrait permettre à Murray de trouver plus tranquillement ses cibles dans une couverture qui paye le succès de la défense au sol ; attention quand même aux incertains sur la ligne offensive.

Devin Singletary sort d’un match énorme contre Cincinnati qui a des soucis au sol depuis le début de la saison, et il est probable qu’il trouve encore des solutions face à un front-7 des Cards poreux. Les visiteurs limitent les gros gains (29 big plays – 7e) mais comme ils sont mauvais sur 3e tentatives, ils autorisent bien trop de voyages en redzone (46 – pire) et donc de points. C’est risqué contre un C.J. Stroud qui fonce vers l’Offensive Rookie Of The Year et qui devrait récupérer Nico Collins en plus de Tank Dell, Noah Brown (néanmoins incertain) ou Robert Woods.

La vie va vite en NFL : il n’y a pas si longtemps Murray était la prochaine star, et il ne serait pas contre montrer à Stroud qu’il n’est pas fini ; mais l’avantage est du côté du rookie.

Tennessee Titans (3-6) @ Jacksonville Jaguars (6-3)

En Week 11 l’année dernière, Tennessee était à 7-3 et Jacksonville était à 3-7 ; inversion totale des positions cette saison alors que les Jaguars doivent se reprendre après un rotoplaf contre les 49ers et que les Titans continuent de lutter.

Les Titans vont dans le mauvais sens depuis leur bye week, marquant de moins en moins de points. Derrick Henry a été totalement annihilé la semaine dernière par Tampa Bay, et les Jaguars ne sont pas des manchots contre la course, ce qui risque de compliquer les choses pour Will Levis. Le Quarterback n’aura pas Treylon Burks ni Andre Dillard, ce qui risque de l’exposer encore un peu plus à Josh Allen et à ses partenaires même avec Dédédé dans le coin pour l’aider.

C’est peu dire que Trevor Lawrence et l’offensive de Floride vont vouloir se relancer après le non-match contre San Francisco, mais attention à une défense des visiteurs qui ne paye pas de mine et qui limite les points. C’est d’autant plus remarquable qu’elle ne vole pas beaucoup de possessions, mais elle est excellente en redzone, un secteur où les Jags manquent de mordant. Les locaux devront donc avancer – préférentiellement par les airs – et conclure une fois dans la zone de vérité.

Au moins les Titans sont excellents pour protéger le cuir, ce qui devra impérativement être encore le cas face à une défense qui les collectionne. Le fait qu’on s’attende plutôt à un score bas veut bien évidemment dire que ça va partir en saucisson, mais Tennessee a quand même plus de chance de l’emporter via la défense.

Las Vegas Raiders (5-5) @ Miami Dolphins (6-3)

Les Dolphins ont vu les Bills chuter pendant leur bye week, ils doivent donc en profiter avec une victoire contre des Raiders qui sortent d’un sweep de New York.

Certains vont dire que l’effet Antonio Pierce est réel, d’autres qu’il y a pire que d’affronter la Grosse Pomme en ce moment. Il est sûr que l’opposition va être un peu plus relevée cette fois avec des Fins en tête de leur division et invaincus à domicile (4-0), mais la défense est loin d’être parfaite. Le souci pour Las Vegas, c’est qu’elle est solide contre la course, ce qui pourrait fermer des portes à Josh Jacobs et pousser le match sur le bras d’Aidan O’Connell : Miami sait mettre la pression même si la couverture n’est pas forcément une foudre de guerre ; le danger est donc réel pour le jeune lanceur.

La bye week n’a pas forcément aidé Miami à se requinquer, surtout du côté offensif où plusieurs joueurs sont incertains ou indisponibles ; il manquera les deux Guards. Cependant, un retour va quand même être remarqué : le dragster De’Von Achane a été activé de l’IR juste à temps pour profiter d’une défense au sol passoire des Raiders. La couverture du Nevada poste des stats sympathiques, mais c’est surtout parce que les adversaires préfèrent profiter de la faiblesse à la course, d’où un playcall relativement équilibré (46.0% de courses – 6e). La capacité des visiteurs à limiter les gains explosifs va être testée (25 big plays – 3e).

Las Vegas a zéro chance si la défense laisse Miami transformer le match en course aux points. Il faudra faire bien mieux sur 3e tentative et en redzone où les Fins sont comme des dauphins dans l’océan.

New York Giants (2-8) @ Washington Commanders (4-6)

Pendant que Dallas rêve de rattraper Philadelphia qui est en tête de la NFL, Washington essaie de se reprendre après la défaite à Seattle et de ne pas subir de sweep aux mains des Giants, ce qui serait… n’est-ce pas.

Le match aller n’avait pas été aussi moche que le score ne le laisse penser, mais c’était Tyrod Taylor aux commandes ; il est sur IR comme Daniel Jones, donc Tommy DeVito va essayer de mener son équipe à la victoire. Il y a matière à progresser contre la défense de Washington, mais cela commence avec une ligne offensive qui doit faire bien mieux : Saquon Barkley va être une menace dans tous les compartiments, néanmoins il ne peut pas bloquer tous les pass-rushers pour DeVito.

Le pass-rush anémique de la Grosse Pomme avait doublé son nombre de sacks au match aller, car c’est une vraie course à l’ineptie entre les deux lignes offensives. Washington ne fera pas mieux qu’en Week 7 si la protection de Sam Howell ne tient pas davantage, ce qui serait dommage car il y a du talent offensif à disposition et le jeunot se bat, menant la ligue en passes tentées, passes complétées et en yards.

Avantage à celui qui finira le moins souvent le nez dans la gazon.

Tampa Bay Buccaneers (4-5) @ San Francisco 49ers (6-3)

Bucs et 49ers avaient besoin de repartir dans le bon sens après une mauvaise série ; malheureusement pour l’une des deux franchises, cela ne va pas continuer.

La connexion Baker Mayfield – Mike Evans semble être revenue, et c’est une bonne chose à l’heure d’affronter des 49ers remis dans le droit chemin. On remarque que la défense des locaux a parfois des faiblesses en redzone et sur 3e tentative, mais elles ne durent jamais très longtemps, surtout si elle a le loisir de forcer l’attaque adverse à être unidimensionnelle. Cela pourrait malheureusement être le cas pour les visiteurs malgré le bon match de Rachaad White la semaine dernière, plaçant davantage de danger pour Baker face à Petit Bosa & Co.

Les retours de Trent Williams et de Deebo Samuel ont redonné son éclat naturel à l’offensive de Californie et à Brock Purdy : les Bucs doivent s’attendre à un vrai combat avec plusieurs membres de l’arrière-garde incertains voire indisponibles, elle qui est déjà le point faible de la défense. Un tel taux catastrophique en 3e tentative est une grosse faille face à une armada pareille même si le taux en redzone est rassurant et les turnovers viennent sauver la baraque. R&R CMC pourrait être davantage utilisé à la passe vu la force dans le front-7.

Les deux équipes ont d’ailleurs un excellent turnover differential, protégeant ses possessions et volant celles des autres ; finir le match avec un TOD positif sera surtout crucial pour les visiteurs.

New York Jets (4-5) @ Buffalo Bills (5-5)

Jets et Bills sont sur deux défaites consécutives et veulent éviter la passe de trois ; surtout Buffalo qui vient d’opérer un changement radical à la tête de l’attaque.

Les matchs de Week 1 ont parfois des résultats assez bizarres, surtout avec une présaison raccourcie dans laquelle les titulaires jouent peu. Néanmoins pour les Jets c’était un bon exemple de la suite : l’attaque rame et les deux autres escouades doivent être très solides, voire marquer elles-mêmes. Si on ajoute l’absence des deux Tackles Duane Brown et Billy Turner, Zach Wilson va encore avoir du mal par les airs vu le pass-rush en face et il devra avant tout protéger le cuir. Breece Hall aura plus d’opportunités au sol mais il n’est pas sûr que cela suffise.

Ken Dorsey a été débarqué et c’est Joe Brady qui reprend le flambeau offensif, en espérant que cela réveille une attaque des Bills dans le doute malgré des stats sympathiques. Cela ne risque pas d’aller mieux contre la défense des visiteurs qui est redoutable dans le jeu aérien avec le duo formé de la Sauce Gardeneur et de D.J. Reed (aucun TD en couverture chacun !) avec Jordan Whitehead derrière. Là aussi, il y a moyen d’avancer par le sol mais il faut que James Cook arrête les fumbles.

Défaite à l’aller, défaites consécutives, espoirs de playoffs en jeu : Buffalo n’est pas seulement favori pour X ou Y raison, Buffalo DOIT l’emporter.

Seattle Seahawks (6-3) @ Los Angeles Rams (3-6)

L.A. a gagné le match aller, et les Seahawks n’ont pas renoncé à la tête de la division ; ils vont essayer d’éviter le sweep.

Comme pour les Jets et les Bills, c’est la revanche d’un match de Week 1 au résultat surprenant ; on a assez rapidement vu par la suite que les deux équipes sont plus dans la continuité de l’année dernière. L’attaque de Seattle a quand même quelques soucis dans certaines situations (vous le voyez dans les stats), ce qui limite un peu sa production offensive, mais elle a l’opportunité de se venger et cela démarre devant : la protection fait un bon travail et le pass-rush des Rams est trop faible.

Matthew Stafford revient aux affaires après sa blessure au pouce, et il n’est pas difficile d’imaginer qu’il sera plus efficace que Brett Rypien, mais c’est oublier qu’il était loin de mettre le feu au gridiron avant : l’émergence de Puka Nacua est une belle histoire, mais l’offensive des locaux a trop peu brillé même avec le retour de Cooper Kupp. Et ne parlons pas du jeu au sol qui souffre de l’absence de Kyren Williams. Cependant, les Hawks vont devoir faire attention car ils sont aussi mauvais offensivement que défensivement en 3e tentative et en redzone, la meilleure manière de relancer une attaque en difficulté.

Seattle a évidemment l’avantage, mais faut-il vous rappeler le piège des matchs intra-division à l’extérieur même si les Rams luttent à SoFi (1-3) ?

Minnesota Vikings (6-4) @ Denver Broncos (4-5)

Le Quarterback des Vikings continue de donner une chance à l’équipe d’accéder aux playoffs en attendant la double confrontation avec les Lions en fin de saison ; attention à ce déplacement chez des Broncos qui viennent de battre Kansas City et Buffalo.

Josh Dobbs se fiche de vos préjugés sur le temps qu’il faut à un Quarterback pour s’adapter, il prend le ballon, court, lance, réalise des miracles et vous rit au nez. Vous vous rappelez la Terminator vision ? Dobbs est pareil, il analyse, voit toutes les failles, sent la peur, l’utilise contre vous, toute résistance est futile. On ne peut marchander, on ne peut le raisonner, il ne sent pas la pitié. Il sait que les Broncos explosent trop souvent au sol, il a apposé les mains sur Alexander Mattison pour le guérir de sa commotion et qu’il fasse un carton. Il n’a pas eu besoin de faire la même chose avec Justin Jefferson parce qu’il sait qu’il n’en aura pas besoin.

On va avoir un duel intéressant de ce côté du ballon entre le jeu au sol de Denver mené par Javonte Williams et une défense de Minnesota qui tient largement la route, mais qui vient de perdre Jordan Hicks suite à son opération en urgence pour un syndrome des loges dans la jambe. Les Vikes ont ramené une tête connue, Anthony Barr, pour compenser, mais il va falloir surveiller cela. La protection de Russell Wilson va également être scrutée de près avec le leader NFL en sacksDanielle Hunter en face et un pass-rush qui appelle du monde à la rescousse (52.4% de blitz – top NFL).

Dobbs peut-il continuer sur ce rythme ? Il faudra protéger le cuir face à une défense qui aime beaucoup le voler et continuer d’être une des équipes les plus disciplinées de la ligue (4.8 pénalités – 2e par match pour 36.5 yards – top NFL).